Blason de la paroisse Ste-Françoise de Rimouski
Communauté chrétienne de la paroisse de Sainte-Françoise
Église catholique romaine dans la MRC des Basques au Québec

Les gestes liturgiques

 
1- Lors de la messe 

Entrée en procession
Le prêtre représente le Christ Pasteur. Nous l’accueillons dans la foi. Les servants représentent tous ceux qui exercent un service pour l’assemblée: sacristains, musiciens, chanteurs, lecteurs, ceux qui font la quête ou ceux qui donnent la communion. Ils représentent toute l’assemblée, un peuple de serviteurs de Dieu et des hommes. Nous accueillons la procession avec joie. Quand quelques-uns processionnent physiquement, tous sont invités à processionner spirituellement c’est-à-dire à s’approcher progressivement de l’autel et de l’ambon, lieux des saints mystères.
 
Chandeliers
Les candélabres sont des chandeliers de grande taille qui sont utilisés pour poser un cierge, ils  nous rappellent les paroles de Jésus: « Je suis la Lumière du monde ». Le Christ illumine la vie des chrétiens.
Le cierge est une grosse et grande chandelle. Les cierges sont un genre de représentation graphique de notre prière qui monte vers Dieu et de notre offrande à Dieu qui se doit d'être totale.
Le cierge pascal est un très gros cierge dans lequel on incruste cinq pointes d'encens formant une croix lors de la bénédiction du samedi saint. On l'allume pour la messe et lors de certaines cérémonies comme le Baptême. De Pâques jusqu’à l'Ascension, on l'allume à toutes les célébrations, ensuite on ne l'allume que pour les célébrations spéciales (Baptême, Confirmation, funérailles, etc.).
 
Salutation à l’autel par le prêtre et les autres membres de la procession
Pourquoi les fidèles passant devant un autel s’inclinent, et pourquoi, au début et à la fin de la messe, les prêtres vénèrent l’autel par un baiser ?
L’autel est la table réservée à la célébration de l’Eucharistie, un sacrifice, c’est-à-dire un amour total et définitif, un mémorial comme réponse au commandement de Jésus : « Faites cela en mémoire de moi », un repas où l’on se nourrit de la vie de Dieu.
 
Encensement de l’autel, du prêtre, de l’évangile, des fidèles
L’encensement prend sa source dans l’ancien testament : « Que ma prière devant toi s'élève comme un encens, et mes mains, comme l'offrande du soir » Ps 140, 2 et dans le nouveau testament : « Un autre ange vint se placer près de l’autel; il portait un encensoir d’or; il lui fut donné quantité de parfums pour les offrir, avec les prières de tous les saints, sur l’autel d’or qui est devant le Trône. » Ap 8, 3.
 
Notre liturgie prévoit  employer l´encens :
a. pendant la procession d´entrée ;
 b. au début de la messe, pour encenser la croix et l´autel;
 c. pour la procession d´évangile et sa proclamation;
d. quand le pain et le calice ont été déposés sur l’autel, pour encenser les dons, la croix et l´autel ainsi que le prêtre et le peuple;
e. à l’élévation de l´hostie et du calice après la consécration.
Quand la fumée monte vers le haut, c’est la terre et le ciel qui sont unis, rassemblant la prière de tous.
 
Signe de la croix
La croix et le signe de croix sont semblables:  le signe par excellence des chrétiens.
 
Les différentes signations ont des effets divers : soit elles sanctifient, soit elles disposent les cœurs, mais toujours elles signifient l’amour de Dieu qui passe par la croix de son Fils, toujours elles nous replongent dans la grâce baptismale, toujours elles nous appellent à emprunter le chemin de la croix glorieuse, toujours elles nous redisent avec pédagogie l’essentiel, toujours elles proclament notre foi.
 
Avant de commencer la liturgie, en entrant dans l’église, je peux plonger ma main dans le bénitier et me signer en me rappelant mon baptême;
Après le chant d’entrée, ce sont les premiers mots du prêtre et des fidèles : « Au nom du Père, et du Fils, et du SaintEsprit. Amen ». C’est Dieu qui nous rassemble;
 
Triple signe de croix avant l’évangile
Avant la proclamation de l’Évangile, on fait un signe de croix sur le front, sur la bouche et sur la poitrine, pour disposer notre être tout entier à laisser la Parole accomplir son chemin en nous;
 
1ère explication: ce signe est la marque de vénération à la parole que porte le Christ, le Verbe  de Dieu, la Parole qui s’est faite chair (Jn1,14).
2e explication:  nous sommes disposés à accueillir pleinement l’Évangile avec notre intelligence (front), notre volonté de témoigner et d’annoncer le Christ (bouche) et avec toute notre attention, tout notre amour, toute notre vie (cÅ“ur).  Selon le Missel romain :  les fidèles se signent ainsi de la croix « sur le front, la bouche et la poitrine, pour reconnaître par là qu’ils doivent accepter la vérité divine dans leur intelligence, la professer de bouche et la conserver dans leur cÅ“ur. Â».
 
Génuflexion
La génuflexion signifie que tu te fais petit devant le Seigneur. C'est une posture de respect, d'adoration et d'humilité. Nous faisons la génuflexion en entrant dans une chapelle ou une église, là où il y a le Saint Sacrement (la présence réelle du Christ).
 
 
Position debout
Être debout est la posture liturgique par excellence. L'homme ressuscité se tient debout devant Dieu. Cette attitude montre notre disponibilité à être ce que le Christ souhaite de nous. Être debout indique notre attention et notre respect.  Rester debout longtemps durant une liturgie relève parfois de l'art.  Au cours de l'eucharistie nous nous tenons debout:
  • du début (de la procession d'entrée) à la fin de la Prière d'entrée;
  • de l'acclamation à l'Évangile (Alléluia) à la fin de la prière universelle (sauf durant l'homélie pendant laquelle on s'assied);
  • durant la prière eucharistique et la préparation de la Communion;
  • de la prière après la Communion, à la fin de la célébration
 
Position assise
Être assis est la posture de recueillement et d'écoute. Durant la Messe, nous sommes assis:
  • pour écouter avec respect les premières lectures et le psaume;
  • durant l'homélie (le sermon, la prédication);
  • pour prier en silence après la Communion
 
Position à genoux
Être agenouillé est la posture de l'adoration. Cela exprime l'humilité et la soumission. L'agenouillement peut aussi indiquer que nous sommes repentants et que nous demandons pardon.
 
Bras étendus du prêtre (en croix)
Lorsque le prêtre étend les bras lors de la prière, c'est en signe d'offrande:  il présente au Seigneur un plateau plein des prières que nous lui adressons (actions de grâce, demandes, personnes, Église, etc.)
 
Aspersion à l’eau bénite
Dans la liturgie, l’aspersion consiste habituellement à projeter de l’eau sur des personnes ou sur des objets, en signe de purification.
 
Les rites d’aspersion, qui sont nombreux dans la célébration des sacrements, ont la même signification : ils visent Ã  éliminer des objets que l’on veut bénir toute contagion du mal et à les rendre aptes à toute Å“uvre bonne. Parfois, le geste d’aspersion est suivi d’un encensement : purifié et investi par la grâce divine, l’objet peut être honoré comme tout ce qui touche à Dieu.
 

 
Mélange du vin et de l’eau
Son sens se trouve dévoilé dans les paroles qui l’accompagnent et que le prêtre prononce à voix basse : Â« Comme cette eau se mêle au vin pour le sacrement de l’Alliance, puissions-nous être unis à la divinité de Celui qui a pris notre humanité.
 
Plusieurs significations symboliques de ce geste ont été données:  il rappelle l’union des deux natures – divine et humaine – dans la personne du Verbe incarné; il évoque l’eau et le sang sortis du côté du Christ après sa mort sur la Croix (cf. Jn 19,34); enfin, il exprime l’association des fidèles au sacrifice et à la vie du Christ rédempteur », relève le Dictionnaire de la Liturgie.
Pour Saint Cyprien (+ 257), ce mélange d’eau et de vin signifie l’union mystérieuse du Christ avec le Peuple de Dieu.
 
Pendant la prière eucharistique, le prêtre bénit le pain et le vin par un signe de croix: l’Esprit-Saint consacre le pain et le vin afin qu’ils deviennent le corps et le sang du Christ et fassent de nous, membres du Corps du Christ, une offrande vivante à la gloire de Dieu le Père;
 
Clochettes
On sonne la clochette à chaque élévation du pain et du vin, pour montrer aux fidèles le Corps et le Sang du Christ,  les avertir de l’importance de ce moment.   Aussi, au-delà d’attirer l’attention des fidèles, les cloches ou clochettes dans la liturgie catholique constituent des moyens pour louer Dieu. 
 
Communion
« Le Corps du Christ. Amen » C’est un geste de foi en la présence réelle de Jésus « présent tout entier, en son corps, en son âme et sa divinité », dans chaque hostie du « repas du Seigneur » qui nous associe au sacrifice d’amour du Sauveur, réalisé une fois pour toutes, les jeudi saint, vendredi saint, samedi saint et dimanche de Pâques : « Faites ceci en mémoire de Moi ».
 
C’est un geste personnel qui doit être fait, comme tout acte liturgique, « avec noble simplicité ».
Deux manières sont possibles : dans la main ou sur la langue.  Selon les historiens, la réception à genoux et sur la langue remonterait au Haut Moyen-âge. La plus ancienne est celle dans la main.  «Quand donc tu approches, ne t’avances pas les paumes des mains étendues, ni les doigts disjoints ; mais fais de ta main gauche un trône pour ta main droite puisque celle-ci doit recevoir le Roi, et, dans le creux de ta main, reçois le Corps du Christ disant : ‘’Amen.’’» St Cyrille de Jérusalem IVème siècle.
 
C’est un geste communautaire. Nous venons communier en procession et nous chantons, pour devenir toujours plus le Corps du Christ : « Quand nous serons nourris de son Corps et de son Sang et remplis d’Esprit Saint, accorde-nous d’être un seul corps et un seul esprit dans le Christ » prière eucharistique n°3. 
C’est un acte de charité.  En communiant au Christ, Jésus nous transforme progressivement en lui afin que nous brûlions de charité. La prière du prêtre après la communion appelle les fruits de nos Å“uvres bonnes.
 
Bénédiction finale
Au cours de la bénédiction finale, le signe de croix signifie que nous soyons des bénédictions pour nos frères en marchant dans la lumière et en pratiquant la charité quotidienne.
 
 
2- Autres gestes 
Allumer un lampion, c’est :
- une pensée pour un être cher
- un remerciement à Dieu
- un demande spéciale à Dieu  
- une lumière dans votre vie
 
Joindre les mains
C’est une posture d'oraison (de prière).
 
Se taper la poitrine
Ce geste exprime le repentir (le regret et le désir de se reprendre à l'avenir). Par ce geste nous confessons nos fautes et nous nous avouons pécheurs. C'est important de le faire lentement et de façon détendue. Nous nous tapons la poitrine durant l'acte pénitentiel, au début de la messe, durant le "Je confesse à Dieu..." en synchronisation avec "j'ai péché, en parole, en action, par action et par omission,"
 
Les cloches
Traditionnellement, la sonnerie des cloches règlemente tous les aspects de la vie sociale et spirituelle des communautés environnantes.  Elle convie les paroissiens aux services religieux, marque les moments importants du culte et avertit les gens d'un danger imminent. La cloche est également horloge, avertissement pour les incendies ou les inondations.


Dans l’Église catholique, les cloches ont une fonction symbolique: elles matérialisent la voix de Dieu et signale l’existence du Paradis. Autrefois, faute de moyens de communication, la sonnerie des cloches représentaient l’unique moyen d’informer les habitants des environs de différents événements passés ou futurs.  Le nombre des cloches utilisées et la tonalité des sons varient en fonction du type de l’événement (funérailles, mariages, messe, fêtes, etc.).
 
  • Angélus :  L'Angélus est une prière de dévotion en l'honneur de l'Incarnation de Jésus que l'on récite matin (6 h), midi et soir (18 h), au son de la « cloche de l'angélus Â» qui se sonne par trois séries de trois tintements suivis d'une « pleine volée ».  Les tintements correspondent au début du Versicule (V), du Répons (R) et de l’Ave Maria. La Prière de l'Angélus est née au XIVème siècle, mais on priait alors la prière du soir seulement. Puis au XVème on lui ajouta la prière du matin en l'honneur de la Résurrection, et au XVIème siècle s'ajouta la prière du midi en souvenir de la Passion. Pendant le Temps Pascal, on récite l'antienne "Regina Caeli" (Reine du Ciel) à la place de l'Angélus.
  • Glas :  on le sonne lors du décès d'un paroissien.  Si c’est une femme, on tinte deux coups par cloche en commençant par la plus petite; si c’est un homme, on sonne trois coups par cloche en commençant par la plus grosse.  Si c’est un prêtre, il s’agit de neuf tintements par cloche.
 
Les sonneries des cloches marquent également les étapes des cérémonies:  les cloches sonnent au début, au milieu et à la fin d'une cérémonie funéraire, d'un mariage ou d'un baptême.
 
 
 
Sources:  
Document préparé par Nathalie Allaire, août 2023

Les objets liturgiques

 
Corporal: linge consacré étendu sur l'autel pour recevoir le calice et la patène.
 
Purificatoire: petit linge de 30 centimètres de côtés qu'on plie en trois, puis en deux. Il sert à laver, ou "purifier" la patène, le calice, le porte-viatique, la custode et le ciboire. Il sert aussi au prêtre à s'éponger la bouche et les doigts après la Communion
 
Pale: linge empesé, rigide, d'environ 15 centimètres. Il est fait d'un tissu blanc qui est laissé tel quel d'un côté alors qu'il est orné (décoré) de l'autre. Il sert à couvrir le calice quand il y a du vin (consacré ou non) afin d'éviter que ne tombent dans le calice des impuretés ou des insectes. Le pale est carré et double. Entre les deux épaisseurs on glisse un carton pour lui donner de la rigidité.
 
Nappe d’autel: une nappe d'autel est utilisée dans la liturgie chrétienne pour recouvrir l'autel. C'est à la fois un signe de respect ainsi que la décoration et la protection de l'autel et des vases sacrés.
 
Calice: vase sacré de la liturgie chrétienne, présentant la forme d'une coupe évasée portée sur un pied élevé. Il est employé dans la célébration eucharistique pour la consécration du vin, devenant ainsi le sang du Christ. Le calice rappelle la coupe de vin de la Cène, le Saint Calice (du mot grec kulix)
 
Ciboire: vase sacré, utilisé dans plusieurs liturgies chrétiennes. En général fermé d'un couvercle surmonté d'une croix, il est destiné à contenir les hosties consacrées par le prêtre durant la cérémonie eucharistique, soit pour les distribuer aux fidèles au moment de la communion, soit pour les conserver dans le tabernacle (du latin ciborium, lui-même du grec kibôrion, qui signifie coupe)
 
Patène: petite assiette, généralement en métal doré, sur laquelle repose le pain qui va être consacré par le prêtre au moment de la consécration, lors d'une cérémonie eucharistique
 
Patène de communion:  petite assiette, généralement en métal doré servant à recevoir l’hostie si elle tombe lors de la communion
 
Custode:  vase liturgique ayant la forme d'une boîte ronde conçue pour apporter la communion aux malades ou aux personnes qui ne peuvent pas recevoir l'eucharistie Ã  la messe
 
Burettes:  flacons utilisés pour la célébration de l'Eucharistie dans la liturgie catholique. Généralement placés sur un plateau, l'un contient le vin qui servira durant la consécration, et l'autre de l'eau
 
Manuterge: est une petite serviette avec laquelle le prêtre s'essuie les mains après le "lavabo" (lavement des mains après la présentation des offrandes). Pour que le lavabo ait tout son sens, il vaut mieux que le manuterge soit vraiment une serviette.
 
Tabernacle: petite armoire sculptée dans laquelle est conservé et rangé le Saint Sacrement. La porte du tabernacle peut être couverte d'un voile ou conopée
 
Crédance:  petite table qui se trouve à côté de l'autel ou au fond du choeur. C'est là qu'on dépose les objets nécessaires pour la célébration: le calice, la patène, les burettes ou tout autre élément qui sera utile durant la célébration. Ces objets ne seront apportés à l'autel que lorsqu'ils seront nécessaires et rapportés à la crédence dès qu'ils ne serviront plus.
 
Ambon: tribune sur laquelle on pose le Lectionnaire (Livre de la Parole, Livre des Saintes Écritures). C'est de ce lieu qu'est proclamée la Parole de Die
 
Encensoir: vase brûle-parfum généralement en métal ou en porcelaine. Dans la liturgie catholique latine et orientale ainsi que dans la liturgie orthodoxe, il est prévu pour un usage mobile et est généralement suspendu à trois chaînettes qui permettent de le balancer
 
Navette:  réserve d'​encens pour alimenter l'encensoir durant la messe
 
Cierge: chandelle de cire, longue et effilée, en usage dans les églises
 
Lampion: petit récipient dans lequel on met une matière combustible avec une mèche, utilisé pour les illuminations, les dévotions
 
Lampe du sanctuaire: lampe formant veilleuse, suspendue en avant et non loin de l'autel, allumée en permanence pour marquer la présence divine dans le tabernacle
 
Aube:  tunique blanche (« aube » vient du latin « albus » qui signifie « blanc ») qui couvre le président de haut en bas et qui, parfois, est serré à la taille par un ceinturon (cingulon) ou un cordon. L'aube symbolise la pureté du coeur que le prêtre doit avoir pour être à l'autel. L'aube est aussi le vêtement de tous les ministres, tant clercs que laïcs.
 
Les servants aussi peuvent se vêtir d'une aube. Autrefois, les servants revêtaient la soutane et le surplis, en noir et rouge, ou encore l'habit religieux. Aujourd'hui, cela est plutôt rare. L'aube peut être utilisée avec ou sans amict, avec ou sans selon la coupe de l'aube et selon la personne qui la porte.
 
Étole: bande de tissus longue et étroite que le prêtre porte au cou. L'évêque et le prêtre la portent sur les deux épaules de façons à faire tomber par en avant les deux bandes de façon parallèle et égale. Le diacre la porte en croisé, la passant sur l'épaule gauche et laissant tomber les 2 bandes du côté droit (à la hauteur de la hanche, environ). L'étole peut être portée par-dessus ou par-dessous le ceinturon. Quand elle est dessous, le ceinturon la tient en place. On peut voir aussi des étoles "triple": deux pans tombent devant et un derrière.
 
Chasuble: espèce de poncho avec une ouverture au centre pour y passer la tête. Elle couvre l'évêque ou le prêtre des épaules aux genoux et des épaules aux poignets, devant et derrière.  La chasuble ne se porte que dans les Eucharisties.
 
Ostensoir: objet liturgique dans lequel est présentée une hostie consacrée à l'adoration des fidèles et qui est généralement placé sur un autel.
 
Chandelier: Support destiné à recevoir des chandelles, cierges, bougies.
 
Bénitier: vasque destinée à contenir l'eau bénite.
 
Goupillon: objet liturgique utilisé pour asperger d'eau bénite objets ou personnes participant à une cérémonie religieuse. Il ressemble à un court bâton de bois ou de métal, garni à son extrémité de poils rudes ou d'une boule percée de trous
 
Bannière de procession: pièce de tissu orné en broderie d'un décor et souvent d'inscriptions spécifiques. Bannière, elle est portée dans les processions où elle fait office d'insigne d'identification pour une confrérie religieuse, une paroisse ou une congrégation
Conopée: voile recouvrant le tabernacle où se trouvent les hosties consacrées. Il peut se décliner suivant les diverses couleurs des temps liturgiques. Pour les catholiques, c'est un des signes qui manifestent la présence réelle du Christ, car il rappelle symboliquement la tente de l’Exode qui abritait l’arche d’Alliance, symbole de la présence de Dieu. Dans beaucoup d’églises il n’est plus utilisé, notamment parce qu’il cache une porte décorée de scènes bibliques ou de motifs symboliques.
 
Clochettes ou sonnettes: Ã  la messe, elles servent, au moment où le servant de messe ou l'enfant de chÅ“ur les fait sonner, à rappeler de s'agenouiller ou de s'incliner devant un objet saint comme lorsque le célébrant élève le Corps du Christ ou le calice contenant le Précieux Sang.
 
 
Document préparé par Nathalie Allaire
 

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